FINANCE|financial institutions and credit · INTERNATIONAL ORGANISATIONS|extra-European organisations|African organisation · INTERNATIONAL RELATIONS|cooperation policy
- EADB Tagairt Faomhadh an téarma seo mar chuid de Thionscadal Lex
- ga
- Banc Forbraíochta na hAfraice Thoir Tagairt Faomhadh an téarma seo mar chuid de Thionscadal Lex
- ga
- EADB | Ostafrikanische Entwicklungsbank
- de
- Sainmhíniú regionale Entwicklungsbank zur Förderung der wirtschaftlichen und sozialen Entwicklung sowie der Integration ihrer Mitgliedstaaten Kenia, Ruanda, Tansania und Uganda Tagairt Vgl. Wirtschaftslexikon24.net http://www.wirtschaftslexikon24.net/d/ostafrikanische-entwicklungsbank/ostafrikanische-entwicklungsbank.htm (11.08.11);Website EADB http://www.eadb.org/about.php (11.08.11)
- Nóta gegründet 1967, Neugründung 1980;Sitz: Kampala, Uganda;DIV: aka 11.08.11
- EADB | East African Development Bank
- en
- Sainmhíniú Bank established in 1967 and then re-established in 1980 in order to offer a broad range of financial services in the Member States (Kenya, Uganda, Tanzania and Rwanda) with an overriding objective of strengthening socio-economic development and regional integration Tagairt EADB official website: http://www.eadb.org/about.php (26/05/2011)
- Banque de développement de l'Afrique orientale | Banque de développement de l'Afrique de l'Est | BDAO | BDAE
- fr
- Sainmhíniú Institution financière instituée par les gouvernements du Kenya, de la Tanzanie et de l'Ouganda par le biais d'un premier traité en 1967, puis d'un deuxième en 1980 dont le but est de fournir une assistance financière et technique aux pays membres en vue de promouvoir leur développement socio-économique. Tagairt D'après le site de la FAO, http://www.fao.org/forestry/cpf/sourcebook/17250@30948/fr/ (4/03/11)
- Nóta Le premier traité signé en 1967 (Traité de coopération est-africain) permettait à la banque de fournir des services pour développer principalement le secteur industriel. La banque est dissoute en 1977 puis réinstaurée en 1980 avec un élargissement des compétences. Le deuxième traité permet, en effet, des interventions dans des secteurs comme l'agriculture, la foresterie, le tourisme, le transport et le développement des infrastructures, avec une préférence pour les projets encourageant la coopération régionale.