Gaois

Cóip statach de shonraí a easpórtáiltear ó IATE ó am go chéile atá sa chnuasach seo. Níor cheart glacadh leis gurb ionann i gcónaí an t-eolas a thugtar faoi iontráil anseo agus a bhfuil sa leagan reatha den iontráil ar IATE. Is féidir an leagan reatha sin a cheadú ach cliceáil ar an nasc atá ar thaobh na láimhe deise ag barr gach iontrála. Breis eolais »

1 toradh

  1. CJEU|LAW|Civil law|Family law
    leanbh a chur ar ais Tagairt "Lch 25 Leanaí a chur ar ais go hachomair - léargas ar Coinbhinsiún na Háige, Cúrsaí an Dlí Teaghlaigh, Geimhreadh 2008 http://courts.ie/Courts.ie/library3.nsf/(WebFiles)/6D39E07E101D941B8025753F00592166/$FILE/Cúrsaí%20an%20Dlí%20Teaghlaigh%20-%20Imleabhar%202%20Uimh%203%20Geimhreadh%202008.pdf [25.02.2011] [Reference to the concept which led to the creation of the term. It does not contain the exact term.]"
    ga
    Herausgabe des Kindes | Kindesrückgabe | Rückgabe des Kindes | Kindesherausgabe
    de
    return of the child
    en
    Nóta The term can also be used to refer to the return of a child for which a local authority has acquired parental responsibility to its parents
    retour de l'enfant
    fr
    Sainmhíniú Restitution de l'enfant à la personne ou à l'institution dont le droit de garde a été violé. [FR] Tagairt Définition rédigée par le juriste linguiste de l’unité de langue FR désigné pour le projet «Vocabulaire juridique multilingue», Direction générale du Multilinguisme, Cour de justice de l'Union européenne, le 24.08.2009.
    Nóta Art. 12 Lorsqu’un enfant a été déplacé ou retenu illicitement au sens de l’art. 3 et qu’une période de moins d’un an s’est écoulée à partir du déplacement ou du non-retour au moment de l’introduction de la demande devant l’autorité judiciaire ou administrative de l’Etat contractant où se trouve l’enfant, l’autorité saisie ordonne son retour immédiat. L’autorité judiciaire ou administrative, même saisie après l’expiration de la période d’un an prévue à l’alinéa précédent, doit aussi ordonner le retour de l’enfant, à moins qu’il ne soit établi que l’enfant s’est intégré dans son nouveau milieu. Lorsque l’autorité judiciaire ou administrative de l’Etat requis a des raisons de croire que l’enfant a été emmené dans un autre Etat, elle peut suspendre la procédure ou rejeter la demande de retour de l’enfant.(Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l’enlèvement international d’enfants)